mardi 3 mars 2009

Le mois de février.

Bonjour chers sujets.

 

Je vous ai quelque peu négligé ces derniers temps et je m’en excuse.  Il y eu tan de choses à faire.  J’ai du me faire remplacer mon appareil photo, mes instruments volés, qui soit dit en passant ne sont pas tous arrivés, il y eu le renouvellement de bail, l’examen éventuel de ma voiture chez ‘’l’esthéticienne’’ gracieuseté de la charmante Mélissa (voir texte du 28 décembre), mon divorce d’avec le band sans-nom, il y a les rendez-vous chez l’orienteur, les mardis soir à la piscine, une ‘’date’’ qui manifestement de donnera rien, le tout surplombé d’une prise d’antidépresseurs pour m’aider à dormir

 

Voila mon mois de février.

 

Cependant un débat m’irrite encore.  Celui sur le retour du RedBull Crashed Ice.  Il n’y a pourtant pas grand-chose à dire sur le sujet…  D’un côté quelques 5 ou 6 familles dérangées par l’événement qui menacent de poursuivre la ville s’il revient.  De l’autre, 96% des citoyens de la ville en faveur du retour. 

 

Les rabat-joies clament le droit au calme et à la tranquillité (on parle ici des citoyens d’une des rues les plus touristiques de la ville) et leurs représentants affrontent les médias en accusant le maire de dictature, de manipuler l’opinion publique, de faire la promotion d’une boisson provenant d’une multinationale (ce qui n’est très habile de sa part je vous l’accorde) et lorsqu’il interpelle la population en faveur à se manifester, il fait se fait accuser de harcèlement envers les résidents de côte de la montagne.

 

De son côté le maire s’interroge sur la pertinence  d’annuler un événement qui rapporte près de 11 millions en retombées économiques en la seule fin de semaine du Crashed Ice, priver près de 90 000 amateurs entassées dehors par un froid glaciale juste pour voir le spectacle et sans compter une publicité pour la ville diffusé dans plus de 15 pays via la retransmission de la compétition à la télé… Tout ca offert à un  prix somme toute assé modeste pour une magnificence comme Québec.

 

En clair, vaut-il de priver toute la ville pour le bien être de cinq ou six famille pendant quelques jours?

 

Je vous laisse donc sur cette réflexion.                     

                                                                       Au plaisir!

1 commentaire:

  1. Non, je crois que l'évènement doit rester ici.

    Oui je peux comprendre que les installations ont pris de l'envergure avec les années, qu'être une femme enceinte dans cet environnement n'est pas idéal. J'accorde aussi le fait que le festival d'été et le Carnaval ne font pas autant de dommages à la rue ciblée. Par contre...

    Maintenant qu'elles (les familles tant à plaindre) se sont fait offert de l'argent et un séjour à l'hôtel, peut-on continuer sans avoir d'embuches? Je sais l'hôtel ce n'est pas la maison, les enfants seront loin de l'école, vous aurez à prendre le bus pour voyager (triste sort)!
    Elles obtiennent en réalité deux fois ce que j'aurais proposé. Dans mon cas, ça aurait été l'argent ou l'hôtel, mais pas les deux.

    Oui, ça complique bien des choses, mais on paie tous un prix pour nos décisions. Quand on habite à Limoilou on accepte de voir en alternance briques et rues avec un manque flagrant de stationnement. Quand on habite à Val-Bélair on accepte le traffic de l'autoroute Henry IV et les interminables heures de bus.

    Vous voyez le tableau? Personne n'a tout dans la vie, il y a toujours un "down side" à nos décisions. Au pire, changer de maison, vous ne le verrai plus cet évènement du diable! Allez habiter plus loin et prenez le bus comme tous le font pour assister aux évènements qui vous plaisent. Ha, vous aimez votre maison? Et bien n'aller pas contre la volonté des autres citoyens (et oui, il y a d'autres citoyens) et surtout pas contre des retombées économiques qui font en sorte que Québec a un peu d'argent neuf dans ses murs.

    Bon j'ai l'air fâchée comme ça mais je ne le suis pas tant!

    xx

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