dimanche 28 décembre 2008

Pour rien?

Bonjour tout le monde.

Quand j'ai créé ce blog il y a quelques jours, je savais que ça ne serait pas pour rien. Hélas, je ne croyais pas venir y réécrire aussi vite. Hier soir, sur l'heure du souper, ma charmante voisine me faisait part de sa confiance en la vie qui, selon elle, retrouve toujours son équilibre et que par conséquent, ma dernière semaine ne faisait que contrebalancer avec un bonheur prochain et soudain. J'ai l'habitude d'essayer de croire en la vie mais cette fois-ci, on dirait que c'est trop.

Soit, toujours m'interrogeant sur sa réflexion, je me dirigeai à la Cage aux Sports de Ste-Foy pour écouter le match avec Marie-Hélène, son copain est ses acolytes. Par la suite, je me rendis chez Max pour l'y rejoindre ainsi que Pierre-Éric. Chemin faisant, une petite Mazda semblable à la mienne, surgit de nul part et vint se fracasser sur mon flan droit. Heureusement il n'y eu ni mort, ni blessé, ni voiture perte totale. Seulement un peu de plastic et de métal froissé. Ainsi que l'orgueil d'une petite Melissa bien gênée de ne pas s'être arrêté sur sa lumière.

Que d'émotion pour terminer cette semaine. Si c'est vrai que ma vie m'annonce l'arrivée prochaine d'un bonheur, il devra être de taille. Car pour compenser tout ce qui viens de m'arriver, un miracle égoïste sera bien apprécié.

mercredi 24 décembre 2008

Boire et déboires.

Bonjour tout le monde.

Je crée ce blog aujourd'hui dans l'espoir que vos commentaires m'aident à mieux comprendre le comportement de ceux et celles qui m'entourent. Je m'appelle Luke Vines et j'ai... je ne sais quoi. Une sorte de malchance incongrue qui me pend au bout du nez. Peut-être est-ce de ma faute, peut-être est-ce une fatalité. Quoi qu'il en soit, cette publication à saveur philosophique est entre autre motivée par la forte concentration de ces ''fatalités'' qui me sont tombés dessus durant les derniers jours.

Tout a commencé le printemps denier lors de ma rencontre avec ma charmante voisine. Quelques minutes à converser dans la sale de lavage et dans l'ascenseur et nous voila entrain de jouer du Ozzy et du Iron Maiden dans son salon. Et oui, je suis bassiste et elle guitariste. Plusieurs brèves rencontres s'en suivirent. Elle est rapidement devenu une idole à mes yeux. J'en tombai vite amoureux. Mais voila qu'après lui avoir fait la grande déclaration, sa réponse fut plutôt expéditive. Il est clair que je suis intéressant, cultivé, charmant... mais pas un amoureux.

Ceci n'est pas sans rappeler la multitude de fois ou je reçus l'étiquette du meilleur ami.

Quelques heures plus tard, une fois le gros de la tempête terminé, je revins du travail et découvris quelqu'un c'est introduit chez moi; s'assit dans ma chaise, mangea mon bol de céréales et me vola mes 3 bass électriques ainsi qu'une vingtaine de disques et des pacotilles.

Appeler la police, les assurances, fabriquer des avis de recherche et les envoyer à tous les magasins de musique de la ville, faire l'inventaire de mon appartement, voila la recette pour passer un 24 décembre des plus palpitant.

Maintenant, comme un malheur n'arrive jamais seul et que jamais 2 sans 3, d'ici quelques jours je devrai célébrer le départ pour l'Angleterre d'une de mes plus importantes amies. Cette aventurière nous quitte pour 1 an. Toute une année qui sera bien longue sans toi Annick.

Et voici comment se passe mon temps des fêtes. Je ne sais pas si c'est une mauvaise façon de terminer l'année ou de commencer la prochaine. J'aimerais bien savoir pourquoi tout ça m'arrive à moi...

Bon, je vous laisses, je vais me saouler pour oublier. À la prochaine.